Dimanche 9 février: La liste du Rassemblement National mène
campagne, forte des résultats antérieurs à Tourcoing. Son appel à l'unité des
républicains a peu d'effet. Elle reste une alternative crédible au ministre
candidat si elle développe son action politique à un autre niveau.
Lundi : Huit listes face à celle de Darmanin; à croire que
l'on veut lui ouvrir un boulevard avec des listes de complaisance ou alors
est-ce un simple signe de la déliquescence du politique.
Mardi : Où sont passés "Les Républicains" ? à
genoux devant le ministre de Macron. Dans une ville à forte présence depuis
toujours du gaullisme social pas un candidat pour y faire référence. Enfin il
n'est pas trop tard, Debout la France est à la manœuvre.
Mercredi : La liste conduite d'Union des gauches (LFI,
PCF,…) conduite par le fils de l'ancien maire socialiste Devloo est à saluer
pour son engagement politique clair contre le "ministre de l'action
publique et de l'inaction municipale"(sic).
Jeudi : pas de sigle politique sur les affiches du ministre Darmanin, aurait-il peur d'assumer la
politique de LREM tant contestée ? Cela est pourtant au cœur du débat
électoral, l'opposition semble bien molle à ce sujet...
Vendredi : Bousculade pour être de la liste du ministre Darmanin,
la soupe d'"En Marche" n'est pourtant pas du goût des tourquennois,
rappelez-vous les résultats aux européennes, Le Rassemblement National était
largement en tête. Ces élections seront très politiques, première occasion de
battre le macronisme.
Samedi : On ne peut qu'être triste de voir la disparition
des socialistes, et pour plusieurs responsables le reniement de leurs
convictions. Je pense à la place qu'occupaient dans la vie politique, sans remonter
jusqu'à d'Inghels, les maires Louis Paris, René Debesson, Guy Chatiliez,
Maurice Devloo…
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